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Monsieur Bovary

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24 septembre 2007

Je n'arrive pas a m'endormir ce soir. Je pense a

Je n'arrive pas a m'endormir ce soir. Je pense a tous ces mots dans lesquels nous avons mis tant d'envies. Tu me laisses goûter a toi au travers de nos discussions pourtant cette nuit,j'ai besoin d'imaginer ce corps dans lequel tu vis,alors laisse moi t'ouvrir mon imaginaire,juste l'entrebâiller pour te faire entrevoir le feu dont tu es la cause.
Quel goût peut avoir ta peau,tes seins lorsque mes lèvres viendront se refermer sur leurs bouts? Quelle ivresse m'envahira quand ma langue déchiffrera l'essence de ton intimité?Ressentirai je ce plaisir sauvage lorsque mes mains se rempliront de la chair tes fesses?
Oui.Je sais tout cela comme tu le sais.
Ce soir,je te donne mon plaisir,ma jouissance solitaire...
C'est ton prénom que je murmurerai a l'heure de la petite mort...

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17 septembre 2007

Blue Hotel...

-"Chambre 303.Hôtel Sofitel. Pas de lumière".
J'ai hésité longtemps avant de t'envoyer ce sms, il faut dire que depuis, tu t'es mariée.
Je suis la, dans l'obscurité la plus totale à attendre un hypothétique je ne sais quoi. Quel démon m'a poussé à enfoncer la touche "Envoi». JE me suis toujours dit que nous ne ferions jamais notre vie ensemble, pourtant jamais avec une autre, je n'avais fait l'amour comme nous le faisions. Peut-on lier sa vie à quelqu’un uniquement parce que dans les moments où plus rien ne compte, hors le furieux désir de l'autre, nous avions l'impression de faire l'amour à un double?

J'ai attendu la jusqu'a ce que tu ouvres. L’obscurité a avalé ta silhouette une fois la porte refermée. J’ai reconnu ton parfum, tes cheveux entre mes doigts. Etranges sensation que d'être la face a toi, sans te voir, laissant mes quatre autres sens te deviner. Nos lèvres se sont touchées furtivement et éloignées pour revenir se soudées et s'offrir a un baiser profond ou nos langues se sont reconnues immédiatement. Nos doigts se sont enlacés. Quelque chose m'a géné.J'ai senti cette anneau a ton doigt. Je t'ai soufflé a l'oreille:
-"Pars avant qu'il ne soit trop tard..."
-"Pas avant que tu n'aies joui dans ma bouche" m'as tu répondu.

Je t'ai souvent demandé pourquoi tu aimais tant me sucer. Parce que je sais que pendant, tu es tout a moi m'avais tu répondu. Je comprends maintenant ton empressement à défaire ma ceinture, a rageusement enlever tout ce qui pouvait être entre mon sexe et ta bouche.
Comme toujours, mon être et ma raison se sont réduit a ce sexe que tu aspirais et lécher comme personne. J’ai longtemps retenu ma jouissance pour m'offrir à toi le plus possible. Tu connaissais trop la chose et tu as décidé quand j'allai jouir. J’ai fondu dans ta bouche, senti ta langue s'enroulait encore autour de ma queue alors que se déversait mon essence. Longtemps après, tu as continué à l'aspirer.

Nous nous sommes quitté sur un dernier baiser.

Un baiser au gout de moi...

15 septembre 2007

Cabotinage...

Avoir envie de l'autre avec rage,
Trop de désir et le coeur a l'outrage,
Pour  te posséder et te prendre sans ambage.
Langues mélées pour le délicieux allumage,
Du feu qui dans nos ventres fera des ravages,
Jusqu'a l'intime et profond ajustage,
Ensemble, dans un même cri faire naufrage.

12 septembre 2007

Basic instincts...

Nous avions commencé a nous embrasser dans l'ascenceur. Des baisers devenus impudiques ou nos langues s'échangeaient nos salives, laissant deviner à l'autre l'envie dévorante de nos corps qui s'emparait de chacun de nous. Ta main s'était posée sur mon sexe pris dans mon pantalon, tu as presque rugit des miennes se saisissant de tes fesses. Sans même ouvrir la porte de chez moi, dans l'obscurité du couloir, a genoux, j'ai soulevé ta jupe. Ma bouche a goûté à la dentelle de ta lingerie mêlée a ton goût, ma langue s'est immiscée derrière cette barrière joliment brodée pour fouiller avidement tes chairs intimes. Ne résonnaient que le bruit de nos souffles et le froissement de nos vêtements. Il n'était plus question de faire l'amour mais de baiser à corps perdus, de laisser nos instincts s'exprimer et d'éteindre les dernières pudeurs.

Cette nuit la, les mots avaient été inutiles. Notre accord tacite n'avait pas eu besoin de parole. J'ai aimé cette concordance des envies. Toi que j'avais connu posée, pudique, délicate, je te revois dévorant mon sexe dégoulinant de ta salive. Je repense à tes "encore" alors que ma main battait tes fesses, mon sexe profondément planté en toi. J'ai vraiment aimé ce soir la parce que j'ai eu la sensation que l'on a fait ce que tu n'aurais jamais osé faire de peur de l'image que tu aurais renvoyé.

Je l'ai su quand déversant ma jouissance en longues saccades dans l'orifice le plus secret de ton corps, tu as crié ton plaisir d'être si pleine de moi...

30 août 2007

Correspondance...

Nous nous sommes rencontrés. Une soirée seulement, passée ensemble. Quelques verres, des sourires de plus en plus appuyés, des regards de plus en plus soutenus. J'ai su à sa manière de mordiller sa lèvre inférieure qu'elle était consentante. Je l'ai raccompagné jusqu'a sa voiture tout en parlant, elle a mis sa main dans la mienne et nous nous sommes embrassés. Collé à son corps, elle a senti contre son ventre mon sexe dréssé, prisonnier de la toile de mon pantalon. Je crois que ses yeux noirs brillaient intensément quand nous nous sommes quittés.
En arrivant chez moi, j'ai trouvé un mail qu'elle venait de m'envoyer:

Aucun mot ne serait assez fort pour exprimer le bonheur éprouvé à la lecture de vos missives, et aucun n'existe pour pouvoir vous dire la force du plaisir ressenti en votre présence.
Au creux de vos bras, j'ai oublié que nous étions à la vue de tous, il n'y avait que vous, moi et notre désir.
En quelques heures vous avez su éveiller en moi tant d'émotions, celles la même que je ne m'autorisais plus à ressentir, je n'étais qu'enveloppe, vous avez révélé le parchemin oublié qu'elle renfermait.
Ce n'est plus la peur de l'homme qui me domine mais celle de vous décevoir, de ne pas être à la hauteur d'un être tel que vous, de ne pas vous mériter, vous qui me donnez tant sans savoir celle que je suis... une femme.
La réalité a épousé le rêve, comment ne pas se plaire à penser qu'il pourrait en être de même pour nous.
Je ne sais si nos vies sont prêtes à cela, et je vous accorde que ces instants magiques et privilégiés puissent effrayer, mais comment renoncer à une telle offrande de la vie ?
Si les dieux nous ont permis de nous reconnaître, laissons les nous guider...
La peur, un sentiment bien connu, mais qui tue l'esprit, je me refuse à l'écouter, préférant laisser mon âme, mon esprit en votre présence.
Mon trouble est immense, vos baisers resteront posés sur mes lèvres en caressant l'espoir de vous retrouver bientôt..

En me couchant, je me suis dit que j'avais de la chance. Ses mots avaient fait mouche. Le désir d'elle commençait à s'installer.
Cette nuit, ma main est allée jusqu'a la source de mon plaisir pour le faire jaillir.

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27 août 2007

Entre nous...

Je l’appellerai Elle… Elle a cette aura, qui fait qu’a coté d’elle vous ne pouviez qu’avoir ce sentiment d’infériorité, parce que rarement personne ne concentrait autant de magnétisme, d’attirance, comme si la nature avait tout mis en une personne. J’étais comme tous les autres hommes, hypnotisé et sous le charme de cette créature. Me reviens en mémoire, ces vers de Baudelaire qui aurait du être écrit pour elle :

Sors tu du gouffre noir ou descends tu des astres ?
Le destin charmé suit tes jupons comme un chien.
Tu sèmes au hasard la joie et les désastres,
Et tu gouvernes de tout et ne répond de rien.

Ne pas penser à vous possédez ne serait pas humain. A vous voir, je voudrai faire l'amour avec chaque parcelle de votre corps, user mes mains sur votre peau et espérer mourir en vous donnant le plaisir que vous suscitez si puissamment. Bien plus qu'une simple femme, vous êtes La femme, celle que j'aurai crée si j'avais été Dieu.
J'espère que ces quelques mots auront au moins eu l'effet d'un léger et fugace sourire sur vos lèvres.

25 août 2007

R.I.P...

On est allé la ou je t'avais emmené la première fois. Il était normal que cela finisse la ou cela avait commencé. Viens, pour une fois, on ne fera pas l'amour. Je t'ai donné la main pour arpenter ces chemins que seul le ruissèlement des eaux de pluies emprunte après l'orage. On est monté la haut, sur le sommet de cette colline, la ou l'azur du ciel se confond avec le bleu de la mer, la ou le vent ne cesse jamais de souffler. On a regardé au loin les iles, nos yeux ont portée vers l'horizon jusqu'a deviner la courbure de la terre. Tes cheveux qui dansaient dans le vent sont venus caresser mon visage. La dernière caresse de ton corps bien malgré toi.
On s'est allongé dans les hautes herbes pour perdre notre regard dans l'immensité du ciel, seulement habité parfois par ces oiseaux marins filant sur le souffle de la brise qui vient du large.
Parler ou s'expliquer n'était plus utile. Je n'avais pas envie d'être seul à l'enterrement de notre relation. Chacun de son coté a revécu les moments qui nous avaient rendu heureux. Maintenant, tu vas partir vers un autre que moi. J’aimerai te dire que je suis juste heureux d'avoir vécu ces moments avec toi plutôt que triste de les avoir perdus. Chacun va repartir avec un fragment de l'autre que l'on va empiler sur ce qui fait notre histoire et ce que nous sommes.
Tu m'as embrassé sur la joue pour me dire adieu. Je crois que c'était la première fois.
Tiens, a la radio passe un vieux morceau de Police "Can't stand loosing You"...surement un hasard...

24 août 2007

Rencontre du 3eme type...

Il en aura fallut des petits pas, des reculades, des hésitations pour que l'on se retrouve la, face à face. Des heures au téléphone à se parler, avec dans la voix des sourires, souvent des rires et beaucoup de silences quand l'envie devenait trop évidente.
J'ai parcouru le long ruban de bitume qui nous séparait, avalé tous ces kilomètres sans y prendre garde, comme absent, tout entier pris par ce futur qui devenait présent au fur et à mesure que la distance qui nous séparait diminuait.
Voila, après tous ces mots, toutes ces confidences, nous sommes la a nous regarder. Je t'ai trouvé encore plus belle que sur les photos que tu m'avais envoyées. Je t'ai pris la main parce que parler était superflu ou trop difficile, nos doigts se sont compris, accordés, comme si par procuration, ils faisaient déjà l'amour pour nous.
Justement, l’amour, nous l'avons fait, pas comme si c'était la première fois mais comme si c'était la dernière, comme si après la fin du monde allait arriver. Tu m'as tout donné, je t'ai tout offert. Jamais femme n'aura été autant mienne, jamais je ne me suis senti autant appartenir a une femme. Nous avons jeté nos pudeurs aux orties, je t'ai montré mon coté obscur, tu m'as offert tes recoins inviolés. J’ai senti ton ventre me retenir à chaque incursion dans tes entrailles, j’ai fait couler le meilleur de moi dans tous les orifices par lesquels je t'ai rempli.
Quand la tempête a céssé, nos sens repus l'un de l'autre, tu t'es endormie contre moi, ta main posé sur mon sexe, la mienne emprisonnant un de tes seins.
Si la fin du monde avait été la, nous serions morts heureux.

24 août 2007

Réflexions...

C*** m'a écrit hier. Elle veut que l'on se revoie. Il faut dire que la faire jouir quatre fois sans que moi je n'éjacule pourrait lui faire penser que je suis "un bon coup». Pourtant nulle frustration de ma part, au contraire.
J'ai souvent remarqué que les femmes après l'amour avaient les yeux d'une teinte légèrement différente de celle normalement. J’ai aimé ses gestes après l'amour, plein de grâce et de féminité, cette manière de tenir la serviette de bain sur son corps en sortant de la douche, la trace humide des ses pied mouillés sur le parquet, ses omoplates bougeant sous sa peau fine quand elle ré-agrafe son soutien gorge, ses gestes précis pour se remaquiller, cette envie de plaire encore même après s'être donné. Quand j'y pense, j’ai presque envie de lui être fidèle...On dit qu'il n'est de plus beau spectacle à regarder que celui de la nature, voir une femme être heureuse est celui que je préfère.

Le jour ou toutes les femmes se rendront compte du pouvoir qu'elles ont sur les hommes, il est fort à parier que débutera une nouvelle ère....

23 août 2007

Confidences...

Je ne sais ou ma vie de solitaire va me mener. On pourrait aisément me prendre pour un queutard, un prédateur vorace mais a la différence que je ne fais rien qui ne puisse pas être entièrement partagé et ressenti par l'autre, chasseur et proie a la fois. Pourtant, j’aime vivre avec cette incertitude de ne pas connaitre a l'avance qui partagera mes nuits, mes matins, tous ces moments d'intimités après lesquels je cours a longueur de temps. J’ai envie d'être surpris par un visage, un corps, un sourire que je ne connais pas encore. Je veux être confronté a des femmes diverses, apprendre à créer des complicités différentes, connaitre d'autres symbioses corporelles, d’autres gouts de peaux, d’autres manière d'aimer. Bâtir une relation avec une femme est une chose tellement subtile et délicate que j'en ai fait le centre de mon monde, la chose que je préfère faire par dessus tout. Souvent, on me demande qu'elles sont mes passions; Je ne sais quoi répondre ou peut être me tais je pour ne pas avouer que mon unique passion et le moteur de ma vie sont les femmes. Je n'ai pas à m'excuser de préférer le vivant à d'autres hobbys plus légers ou plus égoïstes. La vie m'intéresse plus que tout, et jusqu'a présent, la vie, pour moi, ce sont les femmes qui la représente le mieux.
Malgré tout, j’ose a imaginer que pour toutes celles qui m'ont croisé, j’ai pu un instants, quelques heures ou quelques temps être un plus dans leur vie, une respiration entre deux apnées comme elles l'ont été pour moi.

22 août 2007

Making love...

J'ai revu C*** la soeur de mon meilleur ami.Elle a bien changé depuis qu'elle travaille a Paris.On a diné ensemble;J'ai aimé sa manière de pencher sa tete sur le coté,la lueur des bougies se reflétait dans ses yeux.Elle gardait sa bouche entre-ouverte quand elle m'écoutait,elle passait sa main dans ses cheveux de temps a autre.Elle a voulu dormir chez moi.
Nos baisers étaient doux,sensuels,juste avec le bout de la langue qui s'emmele.J'ai aimé le gout de sa salive,la douceur de ses mains.Sans pulsion,presque naturellement,nous sommes deshabillés,nos doigts se sont enlacés,nos souffles se sont mélés.C'est elle qui a pris mon sexe pour le guider dans le sien.Je me suis laissé glissé au fond d'elle,lente et délicieuse immersion dans ses chairs intimes pour m'échouer au fond de son ocean.Je suis resté ainsi,sans aucun coup de rein,ni va et viens,juste la au plus profond d'elle pendant que nos lèvres s'échangeaient de subtiles carresses.Nos doigts se sont enlacés,nos jambes se sont mélées.Elle a joui en me le chuchotant a l'oreille.Je suis resté en elle,encore et encore..
Cela fait longtemps que je n'avais pas fait l'amour...
D'habitude je baise...

20 août 2007

Je ne suis pas une pute...

Tu m'as appelé aujourd'hui.Voila maintenant plus de 2 ans que tu ne l'avais fait.Tu m'as dit que j'étais ta plus belle histoire,moi j'ai repensé a ce que nous étions.Toi la bourgeoise capricieuse,un brin dédaigneuse,moi ton jouet si différent des hommes qui gravitaient autour de toi.Tu n'as eu de cesse que de vouloir m'acheter avec tes voyages,tes hotels de luxe,tes restaurants très chers.Je devais juste m'allonger et me laisser faire.Tes yeux se transformaient,une lueur prédatrice les voilait,moi j'étais ta proie.Tu gémissais juste a sentir l'odeur de ma peau,a passer ta langue longuement dans mes aisselles,sur l'oeuillet de mon cul.Mon ventre a gardé souvent les marques de tes dents,mes épaules les marques de tes ongles.Je me rappele avec quelle ardeur tu sucais ma queue et tes rales lorsque je déchargeais au fond de ta gorge alors que tu continuais a m'aspirais comme pour avoir jusqu'a la dernière goutte de ma semence.
Pour couper court,je t'ai parlé d'elle.Plus jeune que toi,tellement plus belle.Son seul défaut:elle est mariée.Son mari la baise tous les soirs et pourtant je sais que c'est a moi qu'elle pense.J'aime une femme mariée.Ca t'a fait rire,rire jaune j'espère.Je ne serai plus jamais ta pute.

13 août 2007

Désir solitaire

Je suis seul avec mes délires solitaires.Le week end,c'est sa zone interdite,pas de nouvelles,pas de coups de fils.Elle va jouer a la femme maitresse avec son mari,la parfaite compagne:la mère attentionnée,la pute délurée une fois les enfants endormis,la maitresse de maison attentive a ses invités;Moi,je suis encore seul,mon désir a la main, perdu dans des scénarios lubriques ou elle est la seule a me donner la réplique.Je vais souffler son prénom quand ma chair liberera mon plaisir en flots saccadés sur mon ventre.Demain,je prendrai une résolution:ne plus jamais tomber amoureux d'une femme mariée.Demain,on verra...

10 août 2007

Malgré qu'elle ait fait l'amour avec son mari la

Malgré qu'elle ait fait l'amour avec son mari la nuit dernière,elle a voulu que l'on se voit ce matin.Rendez vous dans sa voiture.On s'est sourit,heureux de se voir,comme des enfants prets a faire des bétises.Nos mains se sont saisis,nos doigts se sont enlacés.Elle a finit par approcher son visage pour m'offrir l'intimité de sa bouche.J'ai arrété mon geste avant de toucher ses lèvres,juste pour jouir du moment,lui donner une dimension supplémentaire.Nos lèvres se sont collées,mes mains sont venue encadrées son visage,une des siennes s'est glissée dans l'échancrure de ma chemise.J'ai eu envie de toucher ses seins par dessus ses vètements.Pas tout de suite.J'ai enfouis mon visage dans ses cheveux pour me remplir de leur odeur,j'ai léché la délicate peau de son cou et de sa nuque.Nos yeux se sont dits ce que nous aurions fait.

Je l'ai quitté en lui glissant a l'oreille"Ce soir ,tu feras l'amour a ton mari comme si tu le faisais a moi".A son sourire,j'ai su qu'elle y mettrait tout son coeur.

10 août 2007

Quand elle est entrée chez moi, j'ai deviné sa

Quand elle est entrée chez moi, j'ai deviné sa petite angoisse comme a chaque fois... la culpabilité de venir chez son amant... J'ai passé ma main sur sa joue,effleurer ses lèvres tout en lui souriant... J'ai enfouie ma langue dans sa bouche... elle m'a accueuilli d'abord timidement ensuite au fur et a mesure que mes mains explorées son corps,son baiser est devenu plus sensuel... c'était le signal... J'ai défais un a un les boutons de mon pantalon qui a fini par glisser au sol... elle s'est agenouillé docilement sans que je ne lui dise rien...J'adore sa facon de m'enlever mon boxer... a la fois comme une mere qui deshabille son enfant et comme une salope préssée d'engloutir ma queue dans sa bouche... Elle a arrondi ses lèvres en les faisant glisser sur mon gland... Qu'est ce qu'elle est belle ainsi quand elle me suce... Je l'avais pour moi..elle était mienne... j'ai lentement retiré mon sexe de sa bouche qu'elle retenait en l'aspirant fort comme si je lui enlevais son joujou...je l'ai frotté sur ses joues,sur son front,sur ses lèvres... elle a passé sa langue sur mes couilles comme pour continuer a me montrer qu'elle était ma chienne,mon amante... Je l'ai aidé a se relever... je l'ai plaqué face contre le mur...j'ai soulevé sa jupe,écarté la ficelle de son string et lui ai léché l'entrejambe de sa petite chatte rasée et humide jusqu'a l'oeuillet de son cul...J'adore son gout...Je l'ai pénétré debout et lui ai chuchotté a l'oreille..." Je suis heureux que tu sois la"... Elle m'a répondu... "oooh...je le sens bien"... ce furent les premiers mots que nous échangâmes...

9 août 2007

Comme a chacun de nos (trop rares) rendez vous,

Comme a chacun de nos (trop rares) rendez vous, je m'étais préparé... J'avais soigneusement lavé mon sexe parce qu'elle aimait le prendre et l'avoir dans sa bouche... Je crois que ce qui m'excitait le plus,c'était de voir cette superbe femme avoir un plaisir réel et égoiste a l'avoir ainsi  et cette manière crue et impudique comme pour me dire "regarde la salope que je suis"... J'avais légèrement parfumé mon torse pour que le parfum mélé a la légère odeur de musc et d'épice de ma peau l'ennivre quand tout mon corps pesant sur elle, je serai lentement mais fermement en train de la remplir de mon sexe humide de sa salive... J'aime baisé avec elle... son corps est fait pour le sexe... Il m'arrive parfois de penser quand je la carresse ou que je lui lèche les fesses qu'a sa place je serai encore plus salope qu'elle si j'etais elle. Je sais que dans la vie de tous les jours, des tas de mecs feraient n'importe quoi pour lui etre agréable et ainsi espérer avoir une chance de la baiser mais la c'était a moi qu'elle se donnait... J'aime la posséder, t irer ses cheveux,tordre son corps souple aux rythmes des positions que je lui impose...Elle est docile...Pourtant,un seul désir pendant nos ébats... la faire jouir le plus possible...

Je l'aime ma maîtresse...

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